Écrire un poème au lever, en buvant le premier café de la journée, procure un de ces petits plaisirs
qui épanouissent l'existence.
Une heure passée, hors du temps, et au mépris de tout ce qu'il y a d'autre à faire.
Mais, une fois achevé, le poème lui-même est englué dans l'épaisseur du monde.
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